Ce dessin est inspiré d’un tableau de l’artiste roumain Iosif Derecichei qui expose, entre autres à la Galerie Au P’tit Bonheur de La Malbaie. Curieusement, j’arrive d’une semaine de vacances dansla région de Charlevoix où se situe cette galerie. Après un dîner aux Pains d’exclamation sur la rue Sainte-Étienne, je suis allé à la bibliothèque Laure Conan, le nom de mon école primaire dans la ville de Saint-Michel où j’ai passé mon enfance. À tout hasard, j’ai feulleté un album comportant les photos des tableaux de Vladimir Horik, un artiste canadien d’origine ulkrainienne. Je suis tombé sous le charme de ses oeuvres. Pourtant, j’avais visité son atelier au début des années 2010 dans le contexte des ateliers champêtres de Richard Arsenault aux Éboulements et ses tableaux ne m’avaient pas sollicité outre mesure. Les pinceaux numériques conçus pour imitier le trait de pinceau l’huile par Tatiana se prêtaient à cette aventure artistique et je me suis lancé. Tableau numérique 5 x 7.
